BIOGRAPHY
DOSSIER DE PRESSE:
PRESS KIT :
Se connecter à ses racines
tout en esquissant son propre chemin,
CHICOS Y MENDEZ tire sa quintessence de l’identité métissée de son leader belgo-péruvien David Méndez Yépez. Depuis toujours, la musique latine résonne dans la maison familiale. A 12 ans, une guitare dans les mains, il commence à chanter ses pays, son Pérou d’origine et sa Belgique natale. Balancé des deux côtés de la frontière linguistique, l’auteur-compositeur s’inspire de ses nombreux voyages réalisés au cours de ses études pour livrer une musique hybride qui traverse avec lui les frontières. De l’authenticité de la cumbia péruvienne au flow du reggae en passant par les musiques urbaines, le large spectre musical balayé par ce citoyen global à la fibre militante est à l’image des influences insufflées par ses identités multiples. Entre la cordillère des Andes et les pavés des venelles bruxelloises, c’est avec la musique qu’il choisit de rencontrer l’autre, et de toucher avec quelques accords toute sa poésie. Ses chansons prennent vie pour faire vibrer les joies, les peines et les doutes, pour questionner toutes ces certitudes qui collent à la vie…
Vient ensuite la rencontre avec l’auteur-compositeur Thibault Quinet (Tito), une amitié musicale dont les affinités mélodiques s’entremêlent avec complémentarité. Si David puise dans son héritage latin une musique latine instinctive et engagée, et un univers aux couleurs du reggae, Tito pense davantage la musique, la théorise, butinant dans ses influences éclectiques que sont le jazz, la soul et la musique urbaine. Ensemble, ils créent une musique de style « Latin alternative » ouverte sur le monde et aux influences actuelles (musique urbaine, rock, pop, reggae…). L’envie étant de puiser dans les racines de la musique latino-américaine tout en créant un chemin alternatif qui leur est propre, aux rythmes d’ici et d’ailleurs. Les oreilles ainsi voyagent tandis que le pied bat la mesure du sol belge. Les textes, porteurs de messages, écrits tantôt en espagnol, tantôt en français, reflètent la double nationalité de David. Sur scène, les deux comparses s’entourent de différents musiciens pour compléter leur étendue musicale : Nicolas Scalliet (batterie), François Cappelle (basse) et Sam Versweyveld (trompette).
Authentique, le groupe monte sur scène comme il se présente dans la vie de tous les jours. Ces dernières années, il enchaîne les concerts, foulant de nombreuses scènes tels que la place de la République (Paris), l’Ancienne Belgique, le Botanique, place des Palais et Couleur Café (Bruxelles), les Francofolies de Spa, le Festival Polé Polé (Les Fêtes de Gand) ou encore Sfinks Mixed (Anvers). Au fil des dates, le groupe prend plaisir à jouer sur scène et tisse des liens avec son public qui le suit au fil des représentations. Véritable musique de partage, celle-ci dégage des émotions au-delà des frontières terrestres et linguistiques.
Après un EP et plus de 200 dates à son actif, le groupe belgo-péruvien CHICOS Y MENDEZ, incarné par l’identité multiple de son leader et chanteur David Méndez Yépez, présente un premier album de dix titres : « Esencias ». Un album de style « Latin Alternative » plus « mûr », plus « intimiste », où la musique latino-américaine n’a pas de frontière de style ou de thématique…
Une production et des arrangements léchés, qui viennent confirmer que CHICOS Y MENDEZ n'est pas seulement un groupe de scène, il peut aussi vivre musicalement sur disque, au plus proche de son public.
Que ce soit en mélodie ou en parole, chaque chanson conte une histoire. Le single Reggaetón Feminista en featuring avec la chanteuse brésilienne Flavia Coelho souligne l’absurdité des inégalités hommes/femmes. Un morceau solaire et engagé qui questionne et détourne le machisme inhérent au style musical du reggaetón mais aussi à la société actuelle. Le clip ironique et décalé revisite un tableau mythique… Il reproduit la dernière Cène de la Bible, en remplaçant Jésus par Frida Kahlo (incarnée par le chanteur David Méndez Yépez) et ses 12 apôtres par des femmes de caractère
La chanson Porque parle d’amour-passion avec dérision; Llévate rend hommage à des femmes précarisées qui viennent en aide aux migrants; Mi ciudad est dédiée aux anonymes qui sillonnent les villes avec leurs espoirs et leurs doutes; Ils dansent (feat. Farah El Hour) raconte la rencontre entre deux demandeurs d’asile et l’amour qu’ils vont vivre l’un pour l’autre … Le souhait étant de réhumaniser ce que l’on déshumanise parfois.
Authentique, le groupe monte sur scène comme il se présente dans la vie de tous les jours. Ces dernières années, il enchaîne les concerts, foulant de nombreuses scènes tels que la place de la République (Paris), l’Ancienne Belgique, le Botanique, place des Palais et Couleur Café (Bruxelles), les Francofolies de Spa, le Festival Polé Polé (Les Fêtes de Gand) ou encore Sfinks Mixed (Anvers). Au fil des dates, le groupe prend plaisir à jouer sur scène et tisse des liens avec son public qui le suit au fil des représentations. Véritable musique de partage, celle-ci dégage des émotions au-delà des frontières terrestres et linguistiques.